Aquarium JUWEL RIO 180l. - 101cm de façade En cours de cyclage... Hardscape : Roches, graviers et sable récoltés dans une rivière du massif du Pilat (42) Racine type mangrove (récup) Valisneria spiralis "sauvage" et locale. Très belle souche et très prolifique. Prélevée dans le Rhône (38) Ceratophyllum demersum. Également prélevée dans le Rhône. Très prolifique. Myriophillum sp. , Là encore prélevée dans le Rhône. Croissance certaine mais développement moins rapide que les deux espèces précédentes. Lentilles d'eau, Lemna minor, prélevée dans le Rhône. Spyrodela polyrhiza à venir. Bon développement. A suivre ?
A venir....
J'avais un vrai doute sur la possibilité de voir mes Spirodela polyrhiza se développer dans mon bac face à l'explosion exponentielle de sa petite cousine Lemna minor... Grande joie après seulement 10 jours, elles ont l'air de se plaire. 1ere photo = introduction, 2eme photo = aujourd'hui (j+10)... Trop content. Du coup ce soir, gros ménage sur les Lemna minor, par grosses poignées. Indispensables au commencement de mon bac, l'idée de départ était de les suplenter par leur grande cousine, pour plein de bonnes raisons. Ayant enfin réussi à en trouver il y a 10 jours, l'heure est venue d'enclencher l'histoire vu qu'elles se plaisent ici.
J'avais un vrai doute sur la possibilité de voir mes Spirodela polyrhiza se développer dans mon bac face à l'explosion exponentielle de sa petite cousine Lemna minor... Grande joie après seulement 10 jours, elles ont l'air de se plaire. 1ere photo = introduction, 2eme photo = aujourd'hui (j+10)... Trop content. Du coup ce soir, gros ménage sur les Lemna minor, par grosses poignées. Indispensables au commencement de mon bac, l'idée de départ était de les suplenter par leur grande cousine, pour plein de bonnes raisons. Ayant enfin réussi à en trouver il y a 10 jours, l'heure est venue d'enclencher l'histoire vu qu'elles se plaisent ici.
Quelques news de mon bac. Alors, après un bac grouillant d'alevins de Lepomis gibbosus il y a environ 1 semaine (ça grouillait vraiment) et le retrait du bac de la grosse femelle et du deuxième mâle non concerné par la repro, chaque jour j'ai vu (avec soulagement ?) la densité d'alevins baisser de jour en jour. Depuis dimanche soir, plus un seul alevin à l'horizon... Mon analyse... Même si c'est pas une découverte, le mâle protège et ventilé les œufs et alevins tant qu'il reste au "nid". Dès que la dispersion commence, le cannibalisme bien connu de cette espèce reprend le dessus, en quelques jours le "papa" a bouffé tous ses gosses ?. Je pensais pas que ça irait aussi vite mais je suis pas étonné non plus. Pour être tout à fait limpide et pour rassurer les âmes sensibles, je n'avais pas comme projet d'aider ces alevins à grandir, je n'aurais juste pas envisager qu'une fois le "nid" quitté ça irait aussi vite. Je me suis quand même demandé si c'était bien le "papa" qui avait tout boulotté ou si c'était la qualité de l'eau qui était fautive. Mais d'une part les paramètres après contrôle restent stables, j'ai longuement observé ces alevins se nourrir et "grandir" de jour en jour, et j'ai vu la mâle en boulotté un paquet. Pour vérifier que ce ne sont pas les paramètres de l'eau qui posaient problème (j'avais peu de doute, vu que ponte, éclosion et nuage de nouveau nés au nid se sont bien passé, stade les plus "sensibles") j'ai introduit trois alevins/juvéniles de poissons blancs (plus fragiles à priori) dans le weekend et ils sont toujours là et se nourrissent très bien. Donc exit la question sur la qualité de l'eau. Le mâle a juste bouffé tous ces gosses dès que la dispersion a commencé (c'est pas une découverte, c'est connu), il ne les protège que jusqu'à un certain stade, après bébé devient proie. Je suis content de l'avoir observé et vérifié, mais que ça soit clair pour ceux qui pourrait légitimement s'en émouvoir, on parle de la perche soleil, le but n'est pas de les multiplier, elle y arrive parfaitement sans moi et qu'aurais je fais de centaines d'individus de cette espèce (a part les congeler pour ensuite les donner aux fourmis) ? Donc j'ai libéré le "papa" qui était bien seul dans le bac et j'y ai remis 5 juvéniles (moins de 5cm) de la même espèce, histoire que le bac soit vivant. Je vais rapidement passer à 3 je pense ou a zéro si j'arrive à capturer les petites crevettes locales que je cherche. Mais ce matin au réveil, ma surprise accompagnait mon brossage de dents. Une de ces petites perches, d'environ 4 a 5cm, avait pris les couleurs des mâles en rut ? et nettoyait son nid/territoire et le défendait farouchement. Ça corrobore parfaitement les études menées sur cette espèce dans les eaux réchauffées, la maturité sexuelle peut arriver dès la première année. C'est marrant et intéressant à voir, il cherche les petites femelles qui elles semblent encore en être au stade adolescentes et pas prête à copuler. Je compte sur vous pour prendre le recul nécessaire sur l'anthropomorphisme dont je fais preuve dans ce récit. Sinon, et bien moins d'alevins (y a t'il un lien direct ?) rime clairement avec explosion des ostracodes, pour mon plus grand plaisir. Excusez la qualité des images ci-jointes, c'est fait avec téléphone+loupe. Suite au prochain épisode ?
Quelques news de mon bac. Alors, après un bac grouillant d'alevins de Lepomis gibbosus il y a environ 1 semaine (ça grouillait vraiment) et le retrait du bac de la grosse femelle et du deuxième mâle non concerné par la repro, chaque jour j'ai vu (avec soulagement ?) la densité d'alevins baisser de jour en jour. Depuis dimanche soir, plus un seul alevin à l'horizon... Mon analyse... Même si c'est pas une découverte, le mâle protège et ventilé les œufs et alevins tant qu'il reste au "nid". Dès que la dispersion commence, le cannibalisme bien connu de cette espèce reprend le dessus, en quelques jours le "papa" a bouffé tous ses gosses ?. Je pensais pas que ça irait aussi vite mais je suis pas étonné non plus. Pour être tout à fait limpide et pour rassurer les âmes sensibles, je n'avais pas comme projet d'aider ces alevins à grandir, je n'aurais juste pas envisager qu'une fois le "nid" quitté ça irait aussi vite. Je me suis quand même demandé si c'était bien le "papa" qui avait tout boulotté ou si c'était la qualité de l'eau qui était fautive. Mais d'une part les paramètres après contrôle restent stables, j'ai longuement observé ces alevins se nourrir et "grandir" de jour en jour, et j'ai vu la mâle en boulotté un paquet. Pour vérifier que ce ne sont pas les paramètres de l'eau qui posaient problème (j'avais peu de doute, vu que ponte, éclosion et nuage de nouveau nés au nid se sont bien passé, stade les plus "sensibles") j'ai introduit trois alevins/juvéniles de poissons blancs (plus fragiles à priori) dans le weekend et ils sont toujours là et se nourrissent très bien. Donc exit la question sur la qualité de l'eau. Le mâle a juste bouffé tous ces gosses dès que la dispersion a commencé (c'est pas une découverte, c'est connu), il ne les protège que jusqu'à un certain stade, après bébé devient proie. Je suis content de l'avoir observé et vérifié, mais que ça soit clair pour ceux qui pourrait légitimement s'en émouvoir, on parle de la perche soleil, le but n'est pas de les multiplier, elle y arrive parfaitement sans moi et qu'aurais je fais de centaines d'individus de cette espèce (a part les congeler pour ensuite les donner aux fourmis) ? Donc j'ai libéré le "papa" qui était bien seul dans le bac et j'y ai remis 5 juvéniles (moins de 5cm) de la même espèce, histoire que le bac soit vivant. Je vais rapidement passer à 3 je pense ou a zéro si j'arrive à capturer les petites crevettes locales que je cherche. Mais ce matin au réveil, ma surprise accompagnait mon brossage de dents. Une de ces petites perches, d'environ 4 a 5cm, avait pris les couleurs des mâles en rut ? et nettoyait son nid/territoire et le défendait farouchement. Ça corrobore parfaitement les études menées sur cette espèce dans les eaux réchauffées, la maturité sexuelle peut arriver dès la première année. C'est marrant et intéressant à voir, il cherche les petites femelles qui elles semblent encore en être au stade adolescentes et pas prête à copuler. Je compte sur vous pour prendre le recul nécessaire sur l'anthropomorphisme dont je fais preuve dans ce récit. Sinon, et bien moins d'alevins (y a t'il un lien direct ?) rime clairement avec explosion des ostracodes, pour mon plus grand plaisir. Excusez la qualité des images ci-jointes, c'est fait avec téléphone+loupe. Suite au prochain épisode ?
Quelques news de mon bac. Alors, après un bac grouillant d'alevins de Lepomis gibbosus il y a environ 1 semaine (ça grouillait vraiment) et le retrait du bac de la grosse femelle et du deuxième mâle non concerné par la repro, chaque jour j'ai vu (avec soulagement ?) la densité d'alevins baisser de jour en jour. Depuis dimanche soir, plus un seul alevin à l'horizon... Mon analyse... Même si c'est pas une découverte, le mâle protège et ventilé les œufs et alevins tant qu'il reste au "nid". Dès que la dispersion commence, le cannibalisme bien connu de cette espèce reprend le dessus, en quelques jours le "papa" a bouffé tous ses gosses ?. Je pensais pas que ça irait aussi vite mais je suis pas étonné non plus. Pour être tout à fait limpide et pour rassurer les âmes sensibles, je n'avais pas comme projet d'aider ces alevins à grandir, je n'aurais juste pas envisager qu'une fois le "nid" quitté ça irait aussi vite. Je me suis quand même demandé si c'était bien le "papa" qui avait tout boulotté ou si c'était la qualité de l'eau qui était fautive. Mais d'une part les paramètres après contrôle restent stables, j'ai longuement observé ces alevins se nourrir et "grandir" de jour en jour, et j'ai vu la mâle en boulotté un paquet. Pour vérifier que ce ne sont pas les paramètres de l'eau qui posaient problème (j'avais peu de doute, vu que ponte, éclosion et nuage de nouveau nés au nid se sont bien passé, stade les plus "sensibles") j'ai introduit trois alevins/juvéniles de poissons blancs (plus fragiles à priori) dans le weekend et ils sont toujours là et se nourrissent très bien. Donc exit la question sur la qualité de l'eau. Le mâle a juste bouffé tous ces gosses dès que la dispersion a commencé (c'est pas une découverte, c'est connu), il ne les protège que jusqu'à un certain stade, après bébé devient proie. Je suis content de l'avoir observé et vérifié, mais que ça soit clair pour ceux qui pourrait légitimement s'en émouvoir, on parle de la perche soleil, le but n'est pas de les multiplier, elle y arrive parfaitement sans moi et qu'aurais je fais de centaines d'individus de cette espèce (a part les congeler pour ensuite les donner aux fourmis) ? Donc j'ai libéré le "papa" qui était bien seul dans le bac et j'y ai remis 5 juvéniles (moins de 5cm) de la même espèce, histoire que le bac soit vivant. Je vais rapidement passer à 3 je pense ou a zéro si j'arrive à capturer les petites crevettes locales que je cherche. Mais ce matin au réveil, ma surprise accompagnait mon brossage de dents. Une de ces petites perches, d'environ 4 a 5cm, avait pris les couleurs des mâles en rut ? et nettoyait son nid/territoire et le défendait farouchement. Ça corrobore parfaitement les études menées sur cette espèce dans les eaux réchauffées, la maturité sexuelle peut arriver dès la première année. C'est marrant et intéressant à voir, il cherche les petites femelles qui elles semblent encore en être au stade adolescentes et pas prête à copuler. Je compte sur vous pour prendre le recul nécessaire sur l'anthropomorphisme dont je fais preuve dans ce récit. Sinon, et bien moins d'alevins (y a t'il un lien direct ?) rime clairement avec explosion des ostracodes, pour mon plus grand plaisir. Excusez la qualité des images ci-jointes, c'est fait avec téléphone+loupe. Suite au prochain épisode ?
Quelques news de mon bac. Alors, après un bac grouillant d'alevins de Lepomis gibbosus il y a environ 1 semaine (ça grouillait vraiment) et le retrait du bac de la grosse femelle et du deuxième mâle non concerné par la repro, chaque jour j'ai vu (avec soulagement ?) la densité d'alevins baisser de jour en jour. Depuis dimanche soir, plus un seul alevin à l'horizon... Mon analyse... Même si c'est pas une découverte, le mâle protège et ventilé les œufs et alevins tant qu'il reste au "nid". Dès que la dispersion commence, le cannibalisme bien connu de cette espèce reprend le dessus, en quelques jours le "papa" a bouffé tous ses gosses ?. Je pensais pas que ça irait aussi vite mais je suis pas étonné non plus. Pour être tout à fait limpide et pour rassurer les âmes sensibles, je n'avais pas comme projet d'aider ces alevins à grandir, je n'aurais juste pas envisager qu'une fois le "nid" quitté ça irait aussi vite. Je me suis quand même demandé si c'était bien le "papa" qui avait tout boulotté ou si c'était la qualité de l'eau qui était fautive. Mais d'une part les paramètres après contrôle restent stables, j'ai longuement observé ces alevins se nourrir et "grandir" de jour en jour, et j'ai vu la mâle en boulotté un paquet. Pour vérifier que ce ne sont pas les paramètres de l'eau qui posaient problème (j'avais peu de doute, vu que ponte, éclosion et nuage de nouveau nés au nid se sont bien passé, stade les plus "sensibles") j'ai introduit trois alevins/juvéniles de poissons blancs (plus fragiles à priori) dans le weekend et ils sont toujours là et se nourrissent très bien. Donc exit la question sur la qualité de l'eau. Le mâle a juste bouffé tous ces gosses dès que la dispersion a commencé (c'est pas une découverte, c'est connu), il ne les protège que jusqu'à un certain stade, après bébé devient proie. Je suis content de l'avoir observé et vérifié, mais que ça soit clair pour ceux qui pourrait légitimement s'en émouvoir, on parle de la perche soleil, le but n'est pas de les multiplier, elle y arrive parfaitement sans moi et qu'aurais je fais de centaines d'individus de cette espèce (a part les congeler pour ensuite les donner aux fourmis) ? Donc j'ai libéré le "papa" qui était bien seul dans le bac et j'y ai remis 5 juvéniles (moins de 5cm) de la même espèce, histoire que le bac soit vivant. Je vais rapidement passer à 3 je pense ou a zéro si j'arrive à capturer les petites crevettes locales que je cherche. Mais ce matin au réveil, ma surprise accompagnait mon brossage de dents. Une de ces petites perches, d'environ 4 a 5cm, avait pris les couleurs des mâles en rut ? et nettoyait son nid/territoire et le défendait farouchement. Ça corrobore parfaitement les études menées sur cette espèce dans les eaux réchauffées, la maturité sexuelle peut arriver dès la première année. C'est marrant et intéressant à voir, il cherche les petites femelles qui elles semblent encore en être au stade adolescentes et pas prête à copuler. Je compte sur vous pour prendre le recul nécessaire sur l'anthropomorphisme dont je fais preuve dans ce récit. Sinon, et bien moins d'alevins (y a t'il un lien direct ?) rime clairement avec explosion des ostracodes, pour mon plus grand plaisir. Excusez la qualité des images ci-jointes, c'est fait avec téléphone+loupe. Suite au prochain épisode ?
Quelques news de mon bac. Alors, après un bac grouillant d'alevins de Lepomis gibbosus il y a environ 1 semaine (ça grouillait vraiment) et le retrait du bac de la grosse femelle et du deuxième mâle non concerné par la repro, chaque jour j'ai vu (avec soulagement ?) la densité d'alevins baisser de jour en jour. Depuis dimanche soir, plus un seul alevin à l'horizon... Mon analyse... Même si c'est pas une découverte, le mâle protège et ventilé les œufs et alevins tant qu'il reste au "nid". Dès que la dispersion commence, le cannibalisme bien connu de cette espèce reprend le dessus, en quelques jours le "papa" a bouffé tous ses gosses ?. Je pensais pas que ça irait aussi vite mais je suis pas étonné non plus. Pour être tout à fait limpide et pour rassurer les âmes sensibles, je n'avais pas comme projet d'aider ces alevins à grandir, je n'aurais juste pas envisager qu'une fois le "nid" quitté ça irait aussi vite. Je me suis quand même demandé si c'était bien le "papa" qui avait tout boulotté ou si c'était la qualité de l'eau qui était fautive. Mais d'une part les paramètres après contrôle restent stables, j'ai longuement observé ces alevins se nourrir et "grandir" de jour en jour, et j'ai vu la mâle en boulotté un paquet. Pour vérifier que ce ne sont pas les paramètres de l'eau qui posaient problème (j'avais peu de doute, vu que ponte, éclosion et nuage de nouveau nés au nid se sont bien passé, stade les plus "sensibles") j'ai introduit trois alevins/juvéniles de poissons blancs (plus fragiles à priori) dans le weekend et ils sont toujours là et se nourrissent très bien. Donc exit la question sur la qualité de l'eau. Le mâle a juste bouffé tous ces gosses dès que la dispersion a commencé (c'est pas une découverte, c'est connu), il ne les protège que jusqu'à un certain stade, après bébé devient proie. Je suis content de l'avoir observé et vérifié, mais que ça soit clair pour ceux qui pourrait légitimement s'en émouvoir, on parle de la perche soleil, le but n'est pas de les multiplier, elle y arrive parfaitement sans moi et qu'aurais je fais de centaines d'individus de cette espèce (a part les congeler pour ensuite les donner aux fourmis) ? Donc j'ai libéré le "papa" qui était bien seul dans le bac et j'y ai remis 5 juvéniles (moins de 5cm) de la même espèce, histoire que le bac soit vivant. Je vais rapidement passer à 3 je pense ou a zéro si j'arrive à capturer les petites crevettes locales que je cherche. Mais ce matin au réveil, ma surprise accompagnait mon brossage de dents. Une de ces petites perches, d'environ 4 a 5cm, avait pris les couleurs des mâles en rut ? et nettoyait son nid/territoire et le défendait farouchement. Ça corrobore parfaitement les études menées sur cette espèce dans les eaux réchauffées, la maturité sexuelle peut arriver dès la première année. C'est marrant et intéressant à voir, il cherche les petites femelles qui elles semblent encore en être au stade adolescentes et pas prête à copuler. Je compte sur vous pour prendre le recul nécessaire sur l'anthropomorphisme dont je fais preuve dans ce récit. Sinon, et bien moins d'alevins (y a t'il un lien direct ?) rime clairement avec explosion des ostracodes, pour mon plus grand plaisir. Excusez la qualité des images ci-jointes, c'est fait avec téléphone+loupe. Suite au prochain épisode ?
Quelques news de mon bac. Alors, après un bac grouillant d'alevins de Lepomis gibbosus il y a environ 1 semaine (ça grouillait vraiment) et le retrait du bac de la grosse femelle et du deuxième mâle non concerné par la repro, chaque jour j'ai vu (avec soulagement ?) la densité d'alevins baisser de jour en jour. Depuis dimanche soir, plus un seul alevin à l'horizon... Mon analyse... Même si c'est pas une découverte, le mâle protège et ventilé les œufs et alevins tant qu'il reste au "nid". Dès que la dispersion commence, le cannibalisme bien connu de cette espèce reprend le dessus, en quelques jours le "papa" a bouffé tous ses gosses ?. Je pensais pas que ça irait aussi vite mais je suis pas étonné non plus. Pour être tout à fait limpide et pour rassurer les âmes sensibles, je n'avais pas comme projet d'aider ces alevins à grandir, je n'aurais juste pas envisager qu'une fois le "nid" quitté ça irait aussi vite. Je me suis quand même demandé si c'était bien le "papa" qui avait tout boulotté ou si c'était la qualité de l'eau qui était fautive. Mais d'une part les paramètres après contrôle restent stables, j'ai longuement observé ces alevins se nourrir et "grandir" de jour en jour, et j'ai vu la mâle en boulotté un paquet. Pour vérifier que ce ne sont pas les paramètres de l'eau qui posaient problème (j'avais peu de doute, vu que ponte, éclosion et nuage de nouveau nés au nid se sont bien passé, stade les plus "sensibles") j'ai introduit trois alevins/juvéniles de poissons blancs (plus fragiles à priori) dans le weekend et ils sont toujours là et se nourrissent très bien. Donc exit la question sur la qualité de l'eau. Le mâle a juste bouffé tous ces gosses dès que la dispersion a commencé (c'est pas une découverte, c'est connu), il ne les protège que jusqu'à un certain stade, après bébé devient proie. Je suis content de l'avoir observé et vérifié, mais que ça soit clair pour ceux qui pourrait légitimement s'en émouvoir, on parle de la perche soleil, le but n'est pas de les multiplier, elle y arrive parfaitement sans moi et qu'aurais je fais de centaines d'individus de cette espèce (a part les congeler pour ensuite les donner aux fourmis) ? Donc j'ai libéré le "papa" qui était bien seul dans le bac et j'y ai remis 5 juvéniles (moins de 5cm) de la même espèce, histoire que le bac soit vivant. Je vais rapidement passer à 3 je pense ou a zéro si j'arrive à capturer les petites crevettes locales que je cherche. Mais ce matin au réveil, ma surprise accompagnait mon brossage de dents. Une de ces petites perches, d'environ 4 a 5cm, avait pris les couleurs des mâles en rut ? et nettoyait son nid/territoire et le défendait farouchement. Ça corrobore parfaitement les études menées sur cette espèce dans les eaux réchauffées, la maturité sexuelle peut arriver dès la première année. C'est marrant et intéressant à voir, il cherche les petites femelles qui elles semblent encore en être au stade adolescentes et pas prête à copuler. Je compte sur vous pour prendre le recul nécessaire sur l'anthropomorphisme dont je fais preuve dans ce récit. Sinon, et bien moins d'alevins (y a t'il un lien direct ?) rime clairement avec explosion des ostracodes, pour mon plus grand plaisir. Excusez la qualité des images ci-jointes, c'est fait avec téléphone+loupe. Suite au prochain épisode ?
Quelques news de mon bac. Alors, après un bac grouillant d'alevins de Lepomis gibbosus il y a environ 1 semaine (ça grouillait vraiment) et le retrait du bac de la grosse femelle et du deuxième mâle non concerné par la repro, chaque jour j'ai vu (avec soulagement ?) la densité d'alevins baisser de jour en jour. Depuis dimanche soir, plus un seul alevin à l'horizon... Mon analyse... Même si c'est pas une découverte, le mâle protège et ventilé les œufs et alevins tant qu'il reste au "nid". Dès que la dispersion commence, le cannibalisme bien connu de cette espèce reprend le dessus, en quelques jours le "papa" a bouffé tous ses gosses ?. Je pensais pas que ça irait aussi vite mais je suis pas étonné non plus. Pour être tout à fait limpide et pour rassurer les âmes sensibles, je n'avais pas comme projet d'aider ces alevins à grandir, je n'aurais juste pas envisager qu'une fois le "nid" quitté ça irait aussi vite. Je me suis quand même demandé si c'était bien le "papa" qui avait tout boulotté ou si c'était la qualité de l'eau qui était fautive. Mais d'une part les paramètres après contrôle restent stables, j'ai longuement observé ces alevins se nourrir et "grandir" de jour en jour, et j'ai vu la mâle en boulotté un paquet. Pour vérifier que ce ne sont pas les paramètres de l'eau qui posaient problème (j'avais peu de doute, vu que ponte, éclosion et nuage de nouveau nés au nid se sont bien passé, stade les plus "sensibles") j'ai introduit trois alevins/juvéniles de poissons blancs (plus fragiles à priori) dans le weekend et ils sont toujours là et se nourrissent très bien. Donc exit la question sur la qualité de l'eau. Le mâle a juste bouffé tous ces gosses dès que la dispersion a commencé (c'est pas une découverte, c'est connu), il ne les protège que jusqu'à un certain stade, après bébé devient proie. Je suis content de l'avoir observé et vérifié, mais que ça soit clair pour ceux qui pourrait légitimement s'en émouvoir, on parle de la perche soleil, le but n'est pas de les multiplier, elle y arrive parfaitement sans moi et qu'aurais je fais de centaines d'individus de cette espèce (a part les congeler pour ensuite les donner aux fourmis) ? Donc j'ai libéré le "papa" qui était bien seul dans le bac et j'y ai remis 5 juvéniles (moins de 5cm) de la même espèce, histoire que le bac soit vivant. Je vais rapidement passer à 3 je pense ou a zéro si j'arrive à capturer les petites crevettes locales que je cherche. Mais ce matin au réveil, ma surprise accompagnait mon brossage de dents. Une de ces petites perches, d'environ 4 a 5cm, avait pris les couleurs des mâles en rut ? et nettoyait son nid/territoire et le défendait farouchement. Ça corrobore parfaitement les études menées sur cette espèce dans les eaux réchauffées, la maturité sexuelle peut arriver dès la première année. C'est marrant et intéressant à voir, il cherche les petites femelles qui elles semblent encore en être au stade adolescentes et pas prête à copuler. Je compte sur vous pour prendre le recul nécessaire sur l'anthropomorphisme dont je fais preuve dans ce récit. Sinon, et bien moins d'alevins (y a t'il un lien direct ?) rime clairement avec explosion des ostracodes, pour mon plus grand plaisir. Excusez la qualité des images ci-jointes, c'est fait avec téléphone+loupe. Suite au prochain épisode ?
Dernière touche au hardscape. Cette fois je vais essayer de ne plus y toucher... Car mon sol en mode "low tech" n'aime pas ? Je sais qu'on est loin d'un hardscape travaillé, design et super beau, mais ça colle avec le projet "local et sauvage", donc je vais faire avec. Ça ressemble à là où j'ai prélevé, c'est ce qui compte pour moi. ?
Dernière touche au hardscape. Cette fois je vais essayer de ne plus y toucher... Car mon sol en mode "low tech" n'aime pas ? Je sais qu'on est loin d'un hardscape travaillé, design et super beau, mais ça colle avec le projet "local et sauvage", donc je vais faire avec. Ça ressemble à là où j'ai prélevé, c'est ce qui compte pour moi. ?
Dernière touche au hardscape. Cette fois je vais essayer de ne plus y toucher... Car mon sol en mode "low tech" n'aime pas ? Je sais qu'on est loin d'un hardscape travaillé, design et super beau, mais ça colle avec le projet "local et sauvage", donc je vais faire avec. Ça ressemble à là où j'ai prélevé, c'est ce qui compte pour moi. ?
Dernière touche au hardscape. Cette fois je vais essayer de ne plus y toucher... Car mon sol en mode "low tech" n'aime pas ? Je sais qu'on est loin d'un hardscape travaillé, design et super beau, mais ça colle avec le projet "local et sauvage", donc je vais faire avec. Ça ressemble à là où j'ai prélevé, c'est ce qui compte pour moi. ?